Si certains scientifiques regrettent que la France ne soit pas encore suffisamment testée, la stratégie du gouvernement semble encore changer. D’un côté à l’autre.
“Où sont les 700 000 tests hebdomadaires qu’ils nous ont promis? Nous n’en faisons même pas un troisième.” Lundi, lors d’un entretien avec le Parisien, le chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Pitié-Salpêtrière à Paris était bouleversé. Eric Caumes n’a pas peur de le dire, la “détente” qu’il constate en France l’inquiète et il redoute “une deuxième vague” de Covid-19, “de cet été”.
Avec le début des vacances d’été et les voyages des futurs voyageurs, le chercheur regrette le trop petit nombre de tests de dépistage effectués en France: “En France, nous sommes très détendus. Nous traitons le virus avec mépris, nous nous rattraperons”, a-t-il déclaré. . Car avant la méfiance, l’objectif du gouvernement était clair, la France devait pouvoir produire 700 000 tests par semaine. A la demande du responsable, les laboratoires sont équipés et, pour certains, ont investi dans des machines très sophistiquées, capables de réaliser 2 000 tests par jour, équivalant parfois à plusieurs millions d’euros.
Diplômé en CS et travaillant avec plusieurs chaînes de nouvelles, j’ai travaillé comme présentateur de nouvelles enregistré avec mynewswatchtimesng.com au cabinet Wanquetin Home Based Office. Je conjugue travail et plaisir dans la rédaction d’articles et travaille actuellement en tant qu’expert de l’actualité technologique chez Ramsay General de Santé.
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